PLS :
" Combien de morts de la grippe ont été comptés abusivement comme morts du Covid? Le Daily Mail s'étonne ainsi qu'il n'y ait quasiment plus de morts de grippe enregistrés dans le monde et se demande si le Coronavirus a tué la grippe..."
(Đoạn này nói là, từ khi có Covid-19, người bị cúm hầu như biến mất hết trên toàn thế giới, cứ như thể là corona đã giết chết cúm ! gnac gnac, gnac, cười hết nổi luôn !)
Aux Etats-Unis les chiffres sont identiques, la grippe a
disparu...75000 morts de la grippe lors de la saison passée et quasiment
pas cette année se questionne Donald Trump Junior sur Twitter. (Ở Mỹ cũng vậy, mỗi năm có khoảng 75000 người chết vì cúm, năm nay không có ai luôn !)
Ông Trump, em nghe nói lão Bloomberg là trùm truyền thông, chính là lão ấy đã và đang bỏ tiền ra mua báo chí đấy ! Ông bảo lão ấy là : này Mike, tiền của ông không mua nổi cho ông chức Tổng Thống Mỹ, nó cũng không mua nổi cho Joe đâu ! Vote Trump-Pence ! 4 more years ! MAGA !
L'épidémie de Covid-19 est-elle instrumentalisée?
En France la multiplication des tests PCR
avec des cycles CT de plus de 40 interroge. Le taux de mortalité laisse
également planer un gros doute sur la cause réelle de mortalité de
nombreux décès pendant la première vague et sur le taux de mortalité
réel de l'épidémie qui s'apparente à une grippe saisonnière de forte
intensité comme en 2016/2017 ou en 2014-2015. Les mesures liberticides
mises en place en France ne semblent pas correspondre à la gravité de
l'épidémie : pourquoi de telles mesures sont-elles prises?
Selon Bloomberg
la moitié des petites entreprises européennes pourraient faire faillite
en 2021 si leurs revenus continue de stagner. Cette étude auprès de
McKinset & Co a été menée auprès de 2200 PMe dans les cinq plus
grandes économies d'Europe.
Rappelons que les PME représentent environ 2/3 de la main d’œuvre et
au moins la moitié de la valeur ajoutée économique en Europe.
En France les chiffres de faillite pourraient aller bien au delà alors que le pays devrait être l'un des plus touchés en terme de baisse du PIB selon l'université d'Oxford.
Face à cela plusieurs pays d'Europe mettent en place toujours plus de restrictions.
Cette politique est-elle logique au regard de l'épidémie? Les chiffres français semblent indiquer le contraire.
Combien de personnes sont réellement mortes à cause du Covid?
En France l'épidémie de Covid aurait tué 34761 personnes à ce jour.
Or ce total est-il bien calculé? Tout d'abord et bizarrement la grippe n'aurait tué que 4000 personnes en 2019/2020 selon le rapport de Santé Publique France
contre 8000 personnes en moyenne ces 10 dernières années. Certains
pensent que des morts dus à la grippe auraient été étiquetés comme morts
du Covid.
La grippe a quasiment disparu
Ainsi le docteur Bensadoun a déclaré sur CNEWS : toutes les
rhino-pharyngites que j'aurais étiquetées rhino-pharyngite les autres
années je les étiquette Covid.
Combien de morts de la grippe ont été comptés abusivement comme morts du Covid? Le Daily Mail s'étonne ainsi qu'il n'y ait quasiment plus de morts de grippe enregistrés dans le monde et se demande si le Coronavirus a tué la grippe, ce qui n'est pas possible.
Au regard des symptômes similaires il est possible que de nombreux
cas de grippes aient été étiquetés comme Covid indique le Daily Mail en
fin d'article.
Aux Etats-Unis les chiffres sont identiques, la grippe a
disparu...75000 morts de la grippe lors de la saison passée et quasiment
pas cette année se questionne Donald Trump Junior sur Twitter.
Des morts du Covid ou de comorbidités ? Seulement 6% des morts Covid sont liés uniquement au virus aux Etats-Unis.
Par ailleurs, combien de morts du Covid sont dus au virus lui même et non à la présence de comorbidités?
Une analyse exhaustive des décès aux Etats-Unis a montré que 6% des décès étaient liés uniquement au virus selon le Center of Disease Control and Prevention alors que 94% avaient 2,6 comorbidités graves pré-existantes en moyenne intervenant dans le décès.
« Tous les cas présentent des pathologies préexistantes, et dans la
plupart des cas, plusieurs à la fois : hypertension artérielle,
athérosclérose, hypertrophie cardiaque, surpoids et diabète. Toutes ces
pathologies ont pour dénominateur commun une grave défaillance des
vaisseaux sanguins. Nous avons trop tardé à reconnaître que les
thromboses et embolies pulmonaires jouent un grand rôle dans Covid-19 »
indique le professeur Alexandar Tzankov directeur du service d'Histologie et autopsie de l'Hôpital universitaire de Bâle au Süddeutsche Zeitung relaté par Sciences&Avenir.
Ce qui veut dire en clair que ce n'est pas le virus qui tue mais
surtout de graves comorbidités associées au regard de l'age des patients
très proche des limites de l'espérance de vie.
Des
études montrent ainsi que de nombreux patients ayant un cancer du
poumon ont été classés comme Covid uniquement et n'ont pas été soignés
de ce fait.
Olivier Veran a reconnu lui même devant le Sénat que les porteurs du Covid ne sont pas tous morts du Covid comme le montre cette vidéo.
Par ailleurs l'âge moyen des décédés du Covid-19 est de 81% selon
Santé Publique France avec une majorité d'hommes à 65%, or l'espérance
de vie des hommes en France est de 79 ans. Peut-on dire qu'ils sont
morts du Covid alors que de nombreux hommes décédés du Covid l'ont été
au delà de leur espérance de vie?
Les chiffres de l'INSEE montrent 411131 décès en du 01/01 au
31/08/2018, 409800 décès du 01/01 au 31/08/2019 et 427900 décès pour la
même période en 2020 soit un maximum de 18000 en plus cette année.
Le chiffre de plus de 30000 morts du Covid semble donc totalement
exagéré : la maladie n'aurait tué au maximum que 18000 personnes...Mais
il faudrait retirer de ce chiffres les morts de cancers, maladies
cardiovasculaires non soignés à cause du confinement et les morts
additionnels générés par le vieillissement de la population qui ajoute
de la mortalité chaque année.
Le focus unique sur le Covid entraine de graves conséquences en
terme de mortalité : les morts mal soignés de cancers, AVC vont faire
exploser la mortalité
Par ailleurs combien de personnes sont-elles mortes du fait de
maladies qui n'ont pas pu être soignées alors que les hôpitaux étaient
pleins ou du fait du confinement? Cette non prise en charge de malades
chroniques devrait fortement augmenter la mortalité et biaiser ainsi les
chiffres pour l'année.
Combien de malades du cancer, cardiaques n'ont pas été décelés à
temps et quelle va être la surmortalité liée à cela? Sera-t-elle
comptabilisée Covid alors que la prise en charge tardive de ces malades
va entrainer la mort de nombreuses personnes? Rappelons que 150000
personnes meurent du cancer chaque année et 150000 également des
maladies cardiaques soit des chiffres très largement supérieurs au
Covid. Le focus unique sur le Covid conduit à une faillite sanitaire à
long-terme. Le confinement a du créer un excès de mortalité parmi cette
population et est donc plusnéfaste qu'utile comme on le voit d'ailleurs
dans les pays qui l'ont pratiqué (voir en fin d'article).
La limitation des entrées aux urgences du fait de la suppression de
lits ces dernières années à l'hôpital aurait-elle engendré une
surmortalité en France des plus de 80 ans contrairement à l'Allemagne
qui dispose de bien plus de lits par habitant?
Par ailleurs un grand nombre de morts chez les personnes très âgées
semble avoir été attribué au fait qu'une circulaire publiée le 21 mars a
conduit à limiter l'accès des personnes âgées en réanimation.
Ainsi selon le Canard Enchainé en 15 jours après la publication de
cette circulaire, le taux de plus de 80 ans en réanimation est passé de 9
à 2% alors que parallèlement l'épidémie a explosé pour ces personnes
âgées alors que les octogénaires représentent la moitié du total des
décès. Rappelons que de nombreux lits ont été supprimés dans les
hôpitaux particulièrement par Sarkozy, puis par Hollande et un peu moins
sous Macron. 46500 lits ont été fermés de 2003 à 2013 puis 17500 de
2013 à 2016 et 4172 de 2017 à 2018 alors que le nombre de plus de 65 ans
en France a augmenté soit -68172 lits en 15 ans!
Selon le Canard Enchainé les capacités de réanimation pour les
malades du Covid-19 auraient même baissé de 20% en Ile-de-France par
rapport à mars-avril. Et il ne serait plus possible pour les hôpitaux
d'IDF d'accueillir plus de 1700 patients.
L'Allemagne dispose ainsi de 6,02 lits de soins aigus pour mille
habitants contre 3,09 pour la France selon les chiffres de l'OCDE
publiés en 2017 comme le note Contrepoints. Une différence énorme et qui explique également l'importante différence de mortalité entre les deux pays.
Contrepoints note d'ailleurs un réel problème de gestion en France : «
malgré une dépense publique proportionnellement supérieure à celle de
l’Allemagne, les Français doivent proportionnellement en ajouter
davantage pour leur santé que les Allemands. Car il faut payer les
mutuelles » ainsi qu'un problème de lourdeur administrative :« La France
a fait le choix inverse, la gouvernance du système est éclatée entre
une nébuleuse d’acteurs dont les mandats sont mal définis : les
directions du ministère de la Santé (DGOS, DSS, DREES), les agences
(ATIH, ANAP, HAS, ANSM), la Cnam. Le système de santé est un « dédale
organisationnel et administratif » (Brigitte Dormont). Il s’en dégage un
manque de fluidité, chaque institution n’ayant à sa charge qu’un seul
sous-domaine, laissant en aval aux Agences régionales de santé (ARS) la
responsabilité délicate de la synthèse ».
La France a interdit l'hydroxychloroquine
L'interdiction de l'hydroxychloroquine pourrait également avoir joué
un rôle dans l'augmentation des décès liés au Covid alors que la France
est l'un des rares pays à l'avoir interdite en la classant sur la liste
II des substances vénéneuses le 13 janvier 2020.
Bizarrement l'étude Discovery a été suspendue au mépris des règles
déontologiques médicales suite à l'étude biaisée du Lancet alors que ses
premiers résultats semblaient indiquer un avantage pour les personnes
soignées avec l'hydroxychloroquine en premier recours. Cela représente une faute grave de la recherche française en plus d'une faute médicale se questionne France Soir.
Alors pourquoi le gouvernement français a mis tant d'effort à classer
cette molécule comme vénéneuse alors que dès 2004 des essais in vitro
avaient prouvé son efficacité sur les coronavirus et que de nouvelles
études l'on prouvé in vivo depuis? Aurait-ce été pour privilégier un
vaccin et son marché bien plus important alors que l'hydroxychloroquine
ne vaut plus grand chose? C'est ce que semble indiquer cet article de France Soir.
Au contraire en Allemagne, les médecins allemands ont prescrit
massivement l'hydroxychloroquine pendant l'épidémie ce qui pourrait
expliquer les bons chiffres allemands comme le note le SPiegel.
« En Allemagne 704000 doses ont été données en février et 1,06 en mars
ce qui veut dire que l'hydroxychloroquine a été donnée à 10000 patients
de plus que le mois précédent» note le Spiegel.
On a voulu discréditer l'hydroxychloroquine à l'échelle mondiale
Mais la France n'est pas la seule à avoir voulu interdire
l'hydroxychloroquine. Le Lancet a publié une étude totalement biaisée
visant à discréditer ce médicament qqui a été reprise en boucle et par
le gouvernement français pour discréditer l'hydroxychloroquine. Or cette
étude s'est révelée bidon comme l'a noté le Guardian et comme le résume
très bien cet article d'Agoravox.
« La campagne mondiale de destruction de l’hydroxychloroquine a été
menée sans relâche, à la fois par les sociétés pharmaceutiques
concurrentes et par ceux qui veulent détruire l’économie étasunienne
pour faire avancer leur programme politique. Il est choquant de
constater qu’elle a coûté des centaines de milliers de vies et des
milliards de dollars aux contribuables » a déclaré The Spectator.
Une étude analytique réalisée par le Professeur Dr. Harvey Risch de l'université de Yale aux Etats-Unis
portant sur plus de 121 études ayant testé l'efficacité de
l'hydroxychloroquine prouve que ce médicament réduit le taux de
mortalité et d'hospitalisation pour les malades traités précocement
comme l'a dit dès le départ le Dr Raoult.
L'étude note « le traitement précoce est le plus efficace, avec 100%
des études rapportant un effet positif et une réduction estimée de 63%
de l'effet mesuré (décès, hospitalisation, etc.) à l'aide d'une
méta-analyse à effets aléatoires, RR 0,37 [0,29-0,48] ». L'arrêt de
l'étude européenne Discovery s'avère donc être un scandale de très haute
importance.
Un décret a facilité l'administration de sédatif en France
En terme de mortalité il se pose également le problème de
l'accélération du décès de nombreuses personnes âgées durant le pic
épidémique par l'injection facilitée de sédatifs.
Un décret publié le 28 mars a permis de faciliter l'injection de
différentes substances dont le Rivotril en EHPAD ce qui a accéléré les
décès et donc le nombre de morts comptabilisés pendant le pic épidémique selon France Soir. Le Rivotril est un benzodiazépine (antixiolytique puissant). Un décret qui pose de nombreuses questions comme le relate Mediapart.
Ont-ils été sédatés plus rapidement pour le Covid ou parce qu'ils
étaient condamnés avec plusieurs comorbidités et seraient morts dans les
4-5 mois? L'administration de ces ampoules a-t-elle respecté la loi
Clayes-Leonetti : recherche de recueil du consentement, consultation des
proches, collégialité de la décision médicale?
La question se pose au regard de l'utilisation démesurée des ampoules
pointés par la Sécurité Sociale. En 2020 2106 boites de Rivotril ont
été utilisées par la Sécurité Sociale d'avril à août dans les hôpitaux
contre 762 l'an passé et 4065 en ville contre 2372 d'avril à août 2019
selon les chiffres disponibles via Ameli.fr. Soit 3037 boites et 18222 ampoules de Rivotril écoulées en plus d'avril à août 2020 par rapport à l'an passé.
Par ailleurs comme le note France Soir il était écrit que chez les
personnes âgées fragiles il faut diminuer de 50% les doses initiales…
Dans l’urgence, les personnes en charge d’administrer ces puissants
sédatifs auront-elles lu cette mise en garde importante questionne
France Soir? Par ailleurs, on sait qu'en cas d'insuffisance respiratoire
ce médicament tue et il est bien indiqué en contre-indication que ce
médicament ne doit pas être utilisé en cas d'insuffisance respiratoire
ce qui est le cas des personnes souffrant du Covid...Il est à noter
qu'un décret en date du 16/10 autorise à nouveau ce médicament.
Des tests PCR peu fiables qui dopent les cas?
Toujours par rapport aux chiffres de l'épidémie, de nombreux
spécialistes se posent aujourd'hui des questions sur les fameux tests
PCR et la manière dont ils sont effectués en France.
Dans les tests PCR en France on amplifie d'un facteur 40-42 cycles
alors qu'en Espagne on est passé à seulement 30-35 et seulement 25 en
Allemagne. Du coup on trouve bien moins de cas en Allemagne. Le juriste allemand Reiner Fuellmich apublié une vidéo relayée par Mediapart sur ce problème des tests PCR.
Pourquoi la France utilise-t-elle autant de cycles ce qui génère bien plus de faux positifs? Selon France Soir,
90% des cas positifs ne sont ni malades ni contagieux ce qui fausse
totalement les données sur l'ampleur de l'épidémie en France...
L'Allemagne se conforme aux recommandations des scientifiques avec un
CT compris entre 20 et 30, soit 20 à 30 cycles, pourquoi la France ne
s'y conforme pas?
Un confinement qui mène à la faillite et ne s'est pas révélé plus utile
Enfin la stratégie adoptée par la France et plusieurs pays latins
pose des questions. La Suède présente aujourd'hui des chiffres stables
en terme de réanimation et de nouveaux décès alors que sa population est
également très citadine et concentrée autour de Stockholm.
Alors que l'on prédisait les pires chiffres pour la Suède sans
confinement, son taux de mortalité est à peine supérieur à celui de la
France et similaire si on le rapporte relativement en terme de
population : 5933 morts pour 10 millions d'habitants contre 34761 pour
67 millions d'habitants (rappelons qu'en Suède 87% de la population
habite dans une ville).
L'OMS elle-même a déclaré que le confinement
n'était pas une mesure adéquate. En Argentine où le confinement dure
depuis le 20 mars dernier l'épidémie continue d'exploser ce qui montre
que cela ne fonctionne pas. Rappelons que l'Argentine est justement l'un
des pays les plus endettés au monde et qu'elle souffre de surinflation
chronique et de performances économiques moribondes justement à cause de
sa dette. Il en est de même en Espagne qui a subi un confinement et où
il continue actuellement à Madrid.
Les pays qui ont mis en place des confinements vont se retrouver avec
une économie moribonde à l'image de la France. L'endettement de la
France devrait passer de 98,1% en début d'année à 116,2% à la fin de
l'année.La dette de la Sécurité sociale a par ailleurs dépassé les 50
milliards d'euros cette année ce qui remet en question sa survie à long
terme.
La Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) a demandé de tout faire pour éviter un reconfinement.
Le gouvernement a profité de l'épidémie pour mettre en place l'Etat
d'urgence qui annule une grande partie de la vie d'un Etat de Droit
La Suède n'a par ailleurs pas annoncé de mesures liberticides en
indiquant que l'état d'urgence ne devait être utilisé qu'en cas de
guerre et le port du masque n'y est pas recommandé.
Au contraire la France vient de remettre en place l'Etat d'urgence sanitaire depuis le 17 octobre 2020.
Ce régime peut impliquer des restrictions sur la liberté de
déplacement des individus mais aussi des réquisitions de biens et de
services ou encore des mesures de contrôle des prix. Il a déjà eu lieu
du 20 mars au 10 juillet soit une bonne partie de l'année 2020.
En résumé on constate donc que l'administration française a interdit
un médicament la chloroquine potentiellement intéressant contre le
Covid, a permis la délivrance facilitée de sédatif pour les personnes
âgées, a permis de sélectionner l'entrée des personnes à l'hôpital via
un décret et l'on a noté parallèlement une hécatombe des plus de 80 ans.
Le gouvernement a également changé totalement de politique (pas de
masques en février/mars en intérieur contrairement à l'Asie et des
masques partout ce qui est excessif aujourd'hui), n'a pas testé pendant
la première vague puis teste désormais massivement et pas uniquement les
cas symptomatiques avec des CT trop importants...
Dans plusieurs pays comme aux Pays-Bas, les parlementaires veulent désormais mieux encadrer les pouvoirs de leurs gouvernements.
Les parlementaires néerlandais ont voté ce mardi une loi temporaire surnommée «loi corona». Le texte,
souhaité par la chambre basse et le Conseil d'Etat, offre au Parlement
davantage de contrôle sur l'action du gouvernement, dont les mesures
sont actuellement mises en place grâce à des ordonnances d'urgence
indique le Figaro de ce jour.
Un taux de létalité proche de celui de la grippe
Maintenant que l'on en sait plus sur le virus, on ne comprend pas bien l'utilité de l'ensemble de ces mesures.
L'OMS a elle même déclaré que le taux de mortalité de l'épidémie était de 0,6%. En France selon le Professeur Toussaint l'excès de mortalité de l'épidémie de Covid ne serait que de 12000 à 15000 décès
ce qui semble plus logique au regard des chiffres annoncés en début
d'article et du fait de l'intégration de malades grippaux, de ceux en
phase terminale avec plusieurs comorbidités estampillés Covid...
Des chiffres peu ou pour comparables à la grippe de 2017 ou un niveau identique à la canicule de 2003 soit 14802 morts en 2003.
« L’épidémie de grippe hivernale amorcée fin 2016 a entraîné un pic de
décès exceptionnel en janvier 2017 : 67 000 décès en France
métropolitaine ce mois-ci. Ce niveau mensuel a été dépassé pour la
dernière fois en décembre 1969, quand la grippe hivernale dite « de Hong
Kong » note l'INSEE sur son site web. Selon la banque des territoires, l'épidémie de grippe de 2016-2017 aurait fait près de 14400 décès.
En 2014-2015 la grippe avait tué 18300 personnes soit autant que les
estimations réelles pour le Covid-19 en France cette année. Selon Santé
Publique France le taux de mortalité de la grippe varie entre 0,2 et
0,5% soit autant que le Covid-19.
Pourtant pour le Covid-19 qui présente un taux de mortalité similaire
aux fortes épidémies de grippe, on a endetté la France et la Sécurité
Sociale comme jamais, mis en place l'Etat d'urgence, engendré une crise
économique inouïe, supprimé la liberté de voyager, confiné pendant plus
de 2 mois les français...
Selon une étude consolidant de nombreux travaux du Professeur John Ioannidish de Standford, le taux de mortalité du Covid-19 pour les personnes infectées serait en réalité de 0,23%.
La question que l'on peut se poser est la suivante : à qui profite le crime?
Voici quelques questions en conclusion de cet article :
- l'endettement démesuré de la France et de plusieurs pays d'Europe
pourrait-il permettre de brader les actifs stratégiques à des
investisseurs internationaux comme pour la Grèce?
- la remise en cause du système social français avec l'effondrement
possible de la sécurité sociale écrasée par de nouvelles dettes liées à
la mauvaise gestion de l'épidémie de Covid (tests PCR gratuits à tout
va...) pour 34000 morts soit 1/10ème des morts du cancer et des maladies
cardiovasculaires chaque année va-t-elle conduire à terme à sa
privatisation au profit des assureurs privés?
- Trump était de loin le favori avant l'épidémie et bien moins
désormais du fait de la surmédiatisation de l'épidémie de Covid cela
va-t-il changer le cours du monde en manipulant les votes des électeurs
américains?
- la faillite de nombreuses PME-PMI à l'échelle globale va-t-elle
favoriser comme jamais la concentration des pouvoirs économiques aux
mains de quelques banques et multinationales?
- la suppression temporaire de la démocratie dans de nombreux pays
d'Europe avec l'Etat d'urgence mis en place permettant de prendre des
décisions sans l'aval du peuple et de ses représentants va-t-elle se
prolonger sous couvert d'épidémie et quelle en seront les conséquences
pour ces démocraties?
- le virus a-t-il été créé en laboratoire? Cette hypothèse soit disant complotistes n'est pas exclue par le CNRS lui même...
Le Professeur Montagnier découvreur du VIH, la docteure Li Meng-Yan, virologue chinoise ou Ralph Baric de l'Université de Caroline du Nord
estiment également que le virus a été créé en laboratoire. Le timing
aurait été parfait par rapport aux élections américaines...
La stratégie de la peur devrait cesser
Au regard de toutes ces données,
le directeur de l’Institut de virologie de l’hôpital universitaire de
Bonn, Hendrik Streeck, critique la stratégie de la peur face au
coronavirus.
Il a déclaré que le taux de mortalité en Allemagne est actuellement
tout à fait normal alors que durant de la vague de chaleur de 2018 et de
l’épidémie de grippe de 2017, la surmortalité a été beaucoup plus
élevée.« Nous avons affaire à un virus grave, mais il ne faut pas
dramatiser. Ce virus n’est mortel que pour quelques-uns. Tout comme de
nombreux autres virus ».
Selon lui il ne faut pas se concentrer sur les tests à tout va car de nombreuses infections sont asymptomatiques.
Seuls 5% des personnes infectées ont besoin d’un traitement clinique, et bien moins encore ont besoin de soins intensifs.
Selon le virologiste allemand, le taux de mortalité est au maximum de
0,37%. La ville de Manaus au Brésil où de nombreuses études ont été
réalisées affiche un taux de mortalité de 0,28%. « Le virus est devenu
trop politique, alors qu’il ne devrait pas l’être » estime-t-il. « Le
nombre d'infections ne devrait plus être le focus et il faudrait se
focaliser sur le nombre de lits occupés en réanimation » a-t-il ajouté.
Selon lui l'immunité de groupe a été atteinte dans de nombreuses
zones urbaines dans le monde comme aux Etats-Unis, en Suède et en Inde.
Et les confinements ne servent à rien car « après y compris un
confinement très dur il y aurait une 2ème, 3ème, 4ème vague ».
Ce que montre le cas de la Suède qui présente des chiffres désormais
équivalents à la France avec bien moins de morts pour la seconde vague.
La Suède enregistre actuellement très peu de morts soit 15 décès pour la dernière semaine selon John Hopkins et personne n'y porte de masques et n'y a été confiné.
Il appelle à la fin de la gestion de crise en mode panique dans le
monde et une peur du virus devenue trop irrationnelle et appelle à
apprendre à vivre avec le virus sans porter trop d'espoir sur les
vaccins car « les vaccins développés rapidement sont incertains et porteurs d'effets secondaires ».
« Jouer sur la peur est mauvais car cela divise la société et empêche de prendre des mesures sensées. A ce titre, le port du masque en plein air est selon lui « un non sens ».
LES FAITS QUI DEMONTRENT QUE LE COVID NE DEVRAIT PAS CHANGER NOTRE VIE :
- 0,6% de mortalité selon l'OMS, 0,27% à 0,4% pour des virologues
soit autant que certains épisodes de grippe (0,2 à 0,5% de mortalité
pour la grippe),
- Age moyen des décès : 81 ans et age médian 84 ans avec 65% des
décès pour les hommes. Donc les morts sont très proches sinon au delà
pour les hommes de l'espérance de vie (79%),
- La plupart des morts du Covid-19 étaient très âgés et souffraient
de graves comorbidités. Ils sont donc simples à identifier et on peut
les protéger sans avoir besoin de confiner l'ensemble d'une population,
- Le protocole de soin mis en place en début d'épidémie n'était pas
adapté. Les respirateurs ont souvent aggravé les choses pour les
personnes souffrant d'embolie. Les anti-inflammatoires qui n'étaient pas
recommandés à l'époque par les autorités sont au contraire très utiles.
Des études prouvent que l'hydroxychlorochine mêlée à de l'Azytrhomicine
plus/moins du zinc prévient l'évolution de la maladie. Donc
l'interdiction de l'Hydroxychloroquine en France aurait aggravé la
situation de nombreux malades selon les études citées dans l'article,
- le focus sur le Covid-19 peu grave en terme de mortalité empêche de
soigner des maladies qui engendrent bien plus de morts comme les
Cancers et les maladies cardiovasculaires (300000 morts par an) ce qui
va entrainer une forte hausse de la mortalité induite.
https://www.businesstravel.fr/l-epidemie-de-covid-19-est-elle-instrumentalisee.html